Virus : Resident Evil
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 Renaissance Débile

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Na'Ya
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Na'Ya

Messages : 45
Date d'inscription : 22/03/2010
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Renaissance Débile Vide
MessageSujet: Renaissance Débile   Renaissance Débile Icon_minitimeDim 5 Déc - 18:58


Heu, ouais, salut tout le monde. C'est encore moi qui me tape la narration de cette nouvelle parodie stupide. On m'a à nouveau enfermé et menacé. Je commence à en avoir marre... Bon au moins cette fois y'a pas Léon. Ça nous fait déjà un boulet en moins. Par contre j'suis pas sûr que le perso principal de cette fois-ci soit beaucoup plus intelligent... En effet, la parodieuse est en pleins tripe. Je sais pas si elle s'est fait un mélange d'herbes vertes/rouges/bleus/jaunes, mais elle a décidé de faire une parodie du tout premier Resident Evil. Bon vous allez me dire, jusque là, ça va encore... Ben, déjà, moi je vous répondrai que non, ça va pas. Parce que sa première parodie me fait déjà bien chier, alors si elle s'amuse à en faire une autre dans un manoir en pleine forêt avec pleins de zombies... J'vais pas tenir le coup. Mais ce n'est pas le pire ! Le pire réside dans le coup d'originalité qu'elle a voulu donner à sa parodie ! J'vais pas foutre du suspens plus longtemps parce que j'en ai déjà marre alors que j'ai pas commencé : Le personnage principal est un zombie. BAM ! Non mais j'vous jure... J'vais allez m'fumer une clope, ça ira mieux après...

CHAPITRE 1
Réveil

Voilà, donc... Nous sommes le 24 juillet 1998. Il fait noir, je suppose donc que c'est la nuit. L'équipe Bravo a déjà disparue dans le manoir et a probablement été bouffée par les zombies, à l'exception de Rebecca, qui s'amuse avec Billy dans la forêt, et Richard, qui se fume un joint dans la pharmacie. L'équipe Alpha, venu les secourir – pourtant ils ont l'air d'aller très bien les deux survivants, là ! -, est encore à l'extérieur. En fait, Wesker à paumé sa carte, du coup il ne sait plus par où est le manoir. Pas étonnant aussi, ce con garde ses lunettes de soleil alors qu'on y voit que dalle... Bien sûr ça fait classe, mais se paumé à 50 mètres du manoir alors qu'on a préparé un plan diabolique hyper complexe, ça fait pas classe du tout... Mais bon, peu importe, ils ne tarderont pas entrer dans ce cauchemar.

En attendant, au rez-de-chaussée de ce manoir, le héros de cette foutue parodie se réveille d'un long sommeil ! Haha, tu m'étonnes... Bon, je sais pas son nom, alors on va dire qu'il s'appelle Ralph. Normalement, un zombie, ça parle pas, ça bave juste un genre de « Bweuuuuuuuh  », mais dans cette parodie, les zombies peuvent parler. Tant mieux d'ailleurs, sinon je m'emmerderais. J'serai le seul à causer, et ça finirai par me gonfler... Même si ça me gonfle déjà. Pire que parler, les zombies de cette parodie savent plus ou moins réfléchir ! Enfin, pour vous donner une idée, ils sont au même niveau que Léon dans l'autre parodie. Donc ça reste des gros débiles, en fait.
S'il se réveille, c'est parce qu'en fait Richard a fait tombé l'armoire avec les sérums et à gueuler un « RAH BAH ZUT ! » dans tout le manoir. D'autres zombies ont dû aussi se réveiller à cause de ça.


«  - Woulalah... Où j'ai foutu mes pantoufles, moi ? »

C'est d'la merde. Bref. Il se lève et ouvre l'armoire, certainement pour chercher ses pantoufles, mais à la place il tombe sur un autre zombie qui se cachait là.


«  - Bah t'fous quoi là-dedans ?
- Chuuuut ! Fais pas de bruit ! J'vais faire une blague !
- Une blague ? A qui ?
- Bah... comme ça a foiré avec toi... A la prochaine personne qui vient ici ! 
- Ah, bon... Dis, t'as pas vu mes pantoufles ?
- Non, non. »

Ralph enferme donc son pote dans l'armoire et se tire de la chambre. Il se traîne jusqu'au bout du couloir en perdant l'équilibre à plusieurs reprises, ce qui lui vaut quelques câlins avec le mur. Est-ce qu'il sait qu'il est un zombie ? J'en sais rien ! En tout cas la seule chose qui à l'air de l'ennuyer, ce sont ses pantoufles... Aucune réflexion sur ses jambes en décomposition ou son haleine pas très fraiche. En même temps, je pense pas qu'il ait encore un angle de réflexion très large... Quoi, c'est pas comme ça qu'on dit ? Bref, il arrive dans la salle à manger et tombe nez à nez contre un des membres de l'équipe Bravo, Kenneth Sullivan. Il semble blessé, et Ralph aperçoit par terre une flaque de sang. Cet idiot de Kenneth a voulu ouvrir une boîte de tomate-cerise avec son couteau et s'est lamentablement défoncé la main à la place.

«  - T-t-t-t'es qui, toi ?!
- Woh, m'sieur, z'aller bien ? Je cherche mes pantoufles, vous les avez pas vu ? »

Il semble un peu dans les vagues. Je sais pas si c'est à cause de sa blessure ou si c'est parce qu'il s'est roulé un joint, lui aussi... Peut-être que l'un explique l'autre, d'ailleurs... Quoiqu'il en soit, il a pas l'air de comprendre ce que Ralph lui dit.

«  - Aaaaargh, au s'cour !
- Heu ? Mais calmez-vous ! Z'avez besoin d'aide !
- Un m-m-m-monstre !
- AAAH ! Où ça ?! Où ça ?! Il a mes pantoufles ?! »

Kenneth s'enfuit de la salle à manger, mais Ralph, déterminé à l'aider – et à le questionner à propos de ses pantoufles une fois qu'il se sera calmé –, le suit dans le couloir. Ce Kenneth m'a l'air sacrément débile. Enfin ça doit être l'une des conditions pour apparaître dans cette parodie... Il tire partout pour tenter d'éliminer le monstre imaginaire – Z'avez bien tous compris que c'est Ralph, le monstre, mais passons – mais ne parvient pas à le toucher. Il finit par trébuché et son arme se retourne contre lui. Il est mort !

«  - Woulalah, qu'est-ce qu'il lui arrive à celui-là ? Il est fou ! Il a même pas mes pantoufles... Tiens il a de la bouffe par contre... »

Ralph trouve les tomates-cerises de Kenneth et décide de se faire un p'tit gueuleton, là, maintenant, tout de suite. Bah ouais, autant d'action, ça creuse. Mais la porte de la salle à manger s'ouvre et un type de l'équipe Alpha tombe sur notre zombie assit devant le corps de Kenneth. Pendant quelques secondes, aucun des deux – des trois ! - ne bougent. Ils se fixent avec des airs étonnés. Finalement, Ralph, avec une tomate-cerise dans la bouche, rompt le silence.

«  - ... Uh ?
- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! »

Le type se barre en courant et en hurlant. J'ai l'impression de le connaître... Ce serait pas Chris ?
Ralph n'y comprend rien mais laisse tomber l'affaire. Y'a plus important pour l'instant, comme bouffer les tomates-cerises de l'autre ou chercher ses pantoufles, mais il se fait encore une fois dérangé, par une femme maintenant.


«  - Chris ? T'es là ?
- Uh ?
- Ah, heu, qu'est-ce.... ?
- Ah, vous tombez bien, vous avez pas une fourchette ? C'est pas pratique comme ça.
- Oh... Oh mon dieu, ils ont tué Kenny !»

Elle se barre dans la salle à manger, et Ralph la suit. Bah oui, il a besoin d'une fourchette, et puis il veut savoir où sont ses pantoufles aussi, merde !

«  - Barry ! J'ai retrouvé Kenny !
- Il a des cuillères ?
- Il est mort !
- Oui, d'accord, mais est-ce qu'il a des cuillères ?
- Non ! Regarde, là, un zombie !»

Ralph s'approche avec du jus de tomates-cerises dégoulinant de la bouche.


«  - Oh, mais c'est quoi c'te monstre ?
- Il bouffait Kenneth !
- Ecarte-toi ou j'te plombe la tête, Jill !
- Hé, mais attendez, je veux juste une fourchette ! »

Inutile de négocier, pourriture ! Barry lui fout 3 balles de magnums dans le bide et Ralph se mange le sol.

«  - C'était quoi que ce truc ?
- Faut allez faire un rapport à Wesker !
- Yep, faut lui dire que y'a pas de cuillère dans ce manoir de fou. »

Bon, bien sûr, ce lourd apéritif ne suffit pas à tuer Ralph. Je ne sais pas pourquoi, d'ailleurs. Il se relève et retourne dans le couloir bouffer ses tomates-cerises. Ces deux-là ne vont pas l'aider, il a pigé la leçon.

CHAPITRE 2
Ballade dans les couloirs

Après son dîner bien mérité, Ralph retourne dans l'autre couloir et ferme la porte à clé. On sait jamais que quelqu'un reviendrait par là lui foutre d'autres balles dans le bides. On est jamais trop prudent. Il croise 4 autres zombies occupés à essayer d'ouvrir une fenêtre.

«  - Tiens, vous faites quoi les gars ?
- Y parait que y'a des intrus ! Du coup comme on s'emmerdait, on va se planquer dehors et quand y'en a un qui passe par ici, on saute par les fenêtres, et BOUH ! Il dégage !
- Moi je film !
- Et moi j'veux pas mais ils m'obligent...
- Tais-toi ! Bon, tu viens avec nous ? Ca va être marrant !
- Nan, je cherche mes pantoufles. »

C'est... Vachement... Intéressant... Les discutions de zombies. Sans dec'. Et moi j'dois assister à ça...
Ralph se barre de ce couloir pour arriver dans un autre ! Putain j'en ai marre... Y'a que des couloirs dans ce bordel ?! J'VEUX M'BARRER !


«  - Bah déprime pas mon gars ! »

Oh non... Oh non... Ici aussi j'arrive à parler avec les personnages ?! SORTEZ MOI D'ICI ! J'veux voir mon psy... S'vous plait...

«  - Tiens, quand le narrateur pleure, il pleut dehors. C'est normal ?
- Me pose pas la question et aide-moi à trouver un flingue, que j'me suicide...
- D'abord je veux retrouver mes pantoufles ! On s'aide à deux ! On est potes, maintenant.
- Rajoute pas une couche de conneries ou j'te flingue avec... »

Bon... Alors... J'en suis à quelle page, moi ?

Ralph passe devant la pharmacie où se trouve Richard, mais il semble absent. Ou endormi. Enfin dans tout les cas, Ralph va pas tenter le diable, il entre pas. Il monte donc au premier étage. ENCORE un couloir. Avec pleins de portes. Alors mon gars, JE T'EN SUPPLIE, prends une porte qui mène pas à un autre couloir.


«  - Bah j'veux bien mais j'connais pas les pièces moi, j'sais pas ce qui a derrière les portes !
- T'as pas un plan ?
-Bah non.
- Bah démerde toi... »

Prenant mes menaces au sérieux, Ralph inspecte scrupuleusement chaque porte du couloir pour tenter de... Voir à travers ? On s'en fout. Dans un coin, un cadavre dort tranquillement. Mais il tient quelque chose ! Ralph s'en approche donc et prend l'objet en question. C'est... Ah bah ça tombe bien ! C'est le plan du premier étage ! Sauf que... C'est pas le bon, on dirait... C'est celui de Wesker... Qu'est-ce que ça fout sur un mort – qui n'est d'ailleurs pas présent dans le jeu, la parodieuse s'évade de plus en plus dans son tripe... Ne plus la faire écrire à 4h du mat'... TU M'ENTENDS 'SPECE DE NOLIFE ?! Maintenant que j'ai ton attention, SORT MOI D'ICI - ?

Bref, Ralph prend le plan. Le voilà :

Spoiler:

C'est naze... J'y comprends rien...

«  - On est là, dans ce couloir !
- Quoi, t'y piges quelque chose ?!
- Bah oui ! Tu vois, là c'est l'escalier !
-... Un zombie est plus futé que moi...Bordel...
- Tu vois pas ?
- Rah, ne m'enfonce pas ! Et puis quoi, tout ces long machins, ce sont des couloirs ? On n'est pas sorti du sable... Bon, y'a quoi derrière ces portes ?
- Tu vois vraiment pas, donc !
- Ta gueule !
- Ben, heu... Cette porte c'est un couloir... Cette porte c'est une p'tite pièce... Cette porte c'est un balcon... Et ici un couloir, je crois.
- Balcon.
- T'es sûr que tu veux m'aider ? J'pense pas retrouver mes pantoufles sur un balcon !
- BALCON !
- D'accord, d'accord. Mais juste parce que t'es mon ami.
- Achevez-moi... »

Ralph passe donc par le balcon. Il fait froid. Il pleut. C'est moche. Mais c'est pas un couloir. A travers les hurlements des chiens et le bruit des papillons contre les lampes – sont cons ces papillons – on entend faiblement une voix venant des bois.

«  - Hi ! C'est quoi ? C'est qui ?
- J'sais pas, c'pas marqué dans mes feuilles.
- ... J'ai... Mal... J'suis pas mort... Bordel... Pourquoi vous m'avez laissé... Bande de cons... »

Ah. Je crois capté. Ca serait pas Joseph ? Il s'est fait bouffé par des chiens. Donc apparemment il est pas totalement mort... M'enfin rien à foutre, laissons-le agoniser.

« - Barbare !
- Qu'est-c't'as dis ?
- Heu... Ba... Barbe-à-papa ! J'ai faim. »

Il est un peu con de croire que j'ai pas compris ce qu'il a dit alors que c'est de l'écrit... Mais passons. Il fouille les pots de fleurs dans l'espoir d'y trouver un bout de pantoufle, mais il tombe seulement sur un masque mortuaire. C'est quoi c'truc ? Bon, j'ai pas envie de lui demander pourquoi, mais il le prend... Ah, oui, il a un inventaire illimité, d'ailleurs... Bon, les fouilles finies, il retourne à l'intérieur. Ah, non, attendez, ça bug. La porte reste bloquée. Il se passe quoi ?


«  - J'ai pas le droit d'aller dans cette pièce !
- Pourquoi ?
- Parce que y'a aucun zombies qui vient dans celle-là.
- ... ? Et quoi, tu veux dire qu'on doit faire le tour ? Par les couloirs ? Te fous pas de ma gueule. Défonce cette porte, entre, et on emmerde les règles du jeu. 
- Bon, ben d'accord... »

Ca s'apprivoise bien, ces zombies, en fait. Il arrive donc dans... Oh... C'est pas un couloir ?

«  - Non ! C'est un hall !
- M'ouais... Bon... Un grand couloir, quoi...
- C'est un hall !
- Bon allez, fais vite, avant que les règles du jeu ne s'abattent sur nous et nous envoient dans les abysses.
- Oui enfin je fais ce que je peux, hein !
- T'es pas équipé de nitro, ouais, je suis parfaitement conscient de ça... »

Il se « dépêche » d'aller à l'autre bout du hall pour... Devinez ! Retourner dans un couloir ! Siiii ! Bordel... Bon...
Il avance dans le couloir en ouvrant tout les tiroirs qu'il trouve pour chercher ses saloperies de pantoufles. Rien, forcement. Est-ce qu'il en a vraiment au moins ? Si ça s'trouve il en a pas et il déraille juste ! Et en attendant je souffre !


«  - Bien sûr que j'ai des pantoufles ! C'est Marcel qui me les a donné !
- Elles sont peut-être dans sa chambre, alors ?
- Ben c'est là que je veux aller ! »

AH ! Putain, il avait une destination depuis tout ce temps, en fait... J'ai du mal à y croire. J'espère qu'il sait où est la chambre de Marcel, du coup... Tiens ? Y'a un type qui hurle. Il tire partout. Vu les cris ça semble être Chris. Il doit être en train de tuer du zombie dans un couloir voisin. Ca fait grave flipper Ralph, surtout qu'en plus Chris arrive dans ce couloir-ci et va donc (re-)tomber sur lui. Pris de terreur, il court – si, si, si ! Je vous jure ! Il est en train de courir le salopard ! -, passe devant une grande porte fermée à clé, prend son passe-partout, l'ouvre, entre, et ferme la porte à clé. C'est bon, il doit être en sécurité pendant que Chris court en gueulant dans le couloir.









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